Poème en partage

En français, en hébreu, en yiddish?

Dans le cadre du Billet de l’invité, j’accueille Gadi Golan qui m’a été recommandé par Esther Orner. « … un bon écrivain n’écrit pas dans une langue acquise mais dans celle de son enfance »  Bashevis Singer cité par Philip Roth dans Parlons travail. Le mot de la fin Est-ce la langue d’enfance, ne serait-ce pas l’enfance(…)

Un poème de Bialik pour une famille assassinée

Un poème de Bialik pour une famille assassinée

Comme une chape de plomb, aujourd’hui sur Israël. Le 11 mars 2011,  cinq personnes de la même famille ont été massacrées à Itamar. Comment comprendre qu’on puisse égorger un enfant dans son sommeil ? Mon amie Esther Orner m’a parlé du poème que  Bialik avait écrit après le pogrom de Kichinev en 1903. Je crois(…)

Niggoun, un poème en partage

Dans le cadre de ma rubrique Poème en partage , voici pour commencer l’année civile 2011, grâce à Esther Orner qui en est la traductrice de l’hébreu au français, le poème en ouverture du nouveau recueil de la poétesse israélienne, Haya Ester, NIGGOUN. Le Niggoun est un chant hassidique, une mélodie psalmodiée qui s’élève petit(…)

Haya Ester, des poèmes et des tableaux

Dans le cadre de ma rubrique Poème en partage, voici un poème de la poétesse israélienne Haya Ester. Elle a publié un recueil de poèmes traduits en français Dans le secret des odeurs aux éditions Caractères en 2002 et des nouvelles Le Bain rituel où elle dépeint son expérience de femmes dans le milieu ultra-orthodoxe(…)

Coquillages, coques et guerre, un poème de Pnina Amit

La semaine dernière, dans mon billet Blogueuse en Israel, le temps qui passe, la main qui écrit, je vous parlais d’une soirée de poésie pour le lancement du recueil de la poétesse Pnina Amit צדפים קונכיות ומלחמה , Coquillages, coques et guerre. Le livre est  illustré par le peintre Moshe Kadishman.  Esther Orner a traduit(…)

Matière à réflexion, un poème de Nathan Alterman

Vendredi dernier, dans le  עכבר העיר, le « Pariscope de Tel Aviv » et en traduction littérale, la « souris de la ville »,  proposait un poème de Nathan Alterman  (Varsovie 1910,Tel Aviv 1970)  l’un des plus grands poètes d’Israël. Ce poème a été publié  dans הטור השביעי, la septième colonne, une chronique hebdomadaire qu’a tenu Nathan Alterman dans(…)