Billet de l’invité

Le Ghetto intérieur,  Santiago Amigorena

Le Ghetto intérieur, Santiago Amigorena

Nous retrouvons Agnès Bensimon qui a lu Le Ghetto intérieur, de Santiago Amigorena, P.O.L éditeur, 191 p En lice pour les Prix Goncourt et Renaudot 2019, le dernier roman d’Amigorena, au titre magnifique et douloureux, donne la mesure dont l’onde de choc de la Shoah se répercute encore parmi nous, avec, pour épicentre, le ghetto de(…)

Mémoire du yiddish – Transmettre une langue assassinée

Mémoire du yiddish – Transmettre une langue assassinée

Une note de lecture d’Esther Orner sur Mémoire du yiddish – Transmettre une langue assassinée, Rachel Ertel, Entretiens avec Stéphane Bou chez Albin-Michel Depuis la sortie de Mémoire du yiddish, lu et relu, le livre se trouve sur ma table de chevet. Longtemps j’ai hésité à faire une note de lecture qui ne pourrait que réduire(…)

Tel-Aviv, pour la pulsion de vie…

Tel-Aviv, pour la pulsion de vie…

Depuis quelques années, je lis avec assiduité les posts du compte Instagram de Marie Robert @philosophyissexy – des photos en noir et banc et des contenus pertinents. J’ai donc été très heureuse de la rencontrer « pour de vrai » lors de son passage à Tel Aviv, une jeune femme enthousiaste et sincère ! J’ai l’impression d’avoir,(…)

Le rapport W, infiltré à Auschwitz, Gaétan Nocq

Le rapport W, infiltré à Auschwitz, Gaétan Nocq

Nous retrouvons Agnès Bensimon qui a lu « Le rapport W, infiltré à Auschwitz », GAETAN NOCQ, Editions Daniel MAGHEN Quelle incroyable destinée que celle de Witold Pilecki, officier et résistant polonais de la première heure qui en septembre 1940 se laisse prendre dans une rafle afin d’infiltrer le camp d’Auschwitz ! Sa mission : faire passer des(…)

Trois exils, par Agnès Bensimon

Trois exils, par Agnès Bensimon

Une note de lecture de notre chroniqueuse littéraire Agnès Bensimon qui nous parle d’exils TROIS EXILS, par Agnès Bensimon Dans son récent roman graphique « Si je t’oublie Alexandrie » (Steinkis), Jérémie Dres remonte le Nil et le fil ténu du passé égyptien de ses grands-parents maternels, Rachel Shalita décrit avec finesse la nostalgie du déracinement d’Israéliens(…)