littérature

L’homme au complet blanc – du Caire à New York, l’exil d’une famille juive, Lucette Lagnado

Dans le cadre de mon billet de l’Invité(e), une nouvelle note de lecture d’Esther Orner: Michèle Stroun m’a offert un livre de Lucette Lagnado qu’elle a publié en 2011. Une traduction de l’anglais – L’homme au complet blanc – du Caire à New York, l’exil d’une famille juive, Édition Metropolis. Lucette Lagnado met en scène ses parents, leur famille, leurs(…)

Rencontre exceptionnelle avec Esther Orner

Je vous parle souvent de l’écrivaine Esther Orner et de son oeuvre. Elle me fait aussi le plaisir de contribuer régulièrement au blog en tant que chroniqueuselittéraire, gastronomique et globe-trotteuse. Bien sûr, Esther Orner est mon amie mais si je vous parle régulièrement de ses livres, c’est que je pense que son oeuvre est importante. Elle a une(…)

Une présentation de Livres-Enhco, un outil au service des auteurs

Kef Israël en partenariat avec le Palais des Thés Israël et l’Association des Ecrivains israéliens de langue française inaugure son Salon de Thé littéraire  avec une présentation du projet de Jean-Etienne Cohen-Séat, LIVRES-ENHCO La rencontre aura lieu, autour d’une tasse de thé, le dimanche 28 octobre à 20 heures trente au Palais des thés Israel, 131 rue Dizengoff à Tel Aviv Les places(…)

Rencontre avec Esther Orner à Liège et à Bruxelles

Si vous êtes à Liège ou à Bruxelles, je ne peux que vous conseiller d’aller écouter l’écrivaine israélienne Esther Orner. L’écrivaine  ESTHER  ORNER sera à Liège  pour la XXVIIème Biennale Internationale de Poésie du 10 au 13 octobre 2012 au Palais des Congrès de Liège   De passage à Bruxelles à l’occasion de la sortie de son livre « Entre deux vies »,(…)

Le souvenir de leurs souvenirs

Le souvenir de leurs souvenirs

Voici un extrait des Cigares de ma mère l’une des nouvelles de mon livre Bouquet de Coriandre. Le livre n’est plus disponible en librairie mais si vous passez par Tel Aviv, il reste quelques exemplaires en vente au Palais des thés Israël. Les mêmes gestes se répétaient d’année en année, ponctués par les mêmes mots. Dans(…)