About Rachel Samoul

Rachel Samoul est née à Aix-en-Provence, originaire d’une famille d’Aïn-Temouchent (Algérie). Elle a vécu de 1998 à 2008 à Bruxelles où elle était responsable de la promotion de la culture israélienne à l’Ambassade d’Israël en Belgique et au Luxembourg. Depuis août 2008, elle est de retour à Tel Aviv. Elle a écrit pour l’Arche. Elle a fait partie du comité de rédaction de Continuum, la revue des écrivains israéliens de langue française. « Bouquet de coriandre » (2007) aux Editions Complexe est son premier livre publié.

Posts by Rachel Samoul:

Israël au temps du coronavirus – lundi 9 mars

Israël au temps du coronavirus – lundi 9 mars

Vont-ils mettre en quarantaine tous les Israéliens qui rentrent de l’étranger et de ce fait fermer totalement le pays ? C’est une décision qui doit tomber au cours de la journée ou dans les jours prochains. L’aéroport est déjà presque vide et certains l’utilisent comme décor à leur déguisements comme cette charmante famille :  (…)

Israël au temps du coronavirus – Dimanche 8 mars

Israël au temps du coronavirus – Dimanche 8 mars

La crise du coronavirus est malheureusement, il me semble, loin d’être comprise et encore plus loin d’être endiguée. Je m’intéresse au coronavirus depuis le 26 janvier, date où mon fils Dan m’a invité au groupe WhatsApp qu’il avait créé le 22 janvier pour échanger sur le sujet avec ses amis du monde entier. A l’époque,(…)

Connaissez-vous les jeûnes du 8, du 9 et du 10 Tevet ?

Connaissez-vous les jeûnes du 8, du 9 et du 10 Tevet ?

Guylain-David Sitbon m’a envoyé cet enseignement fort intéressant et quelque peu sulfureux ! Au cours de son discours shabbatique Rabbi Haim Eidels, le rabbin de ma synagogue (Goren- Komemiout Abraham) à Tel Aviv a rappelé hier que cette semaine aura lieu le jeûne du 10 Tevet. 10 Tevet Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de ce(…)

Maoz Tsour, cinq interprétations du chant de Hanouka

Maoz Tsour, cinq interprétations du chant de Hanouka

Maoz Tsour, Rocher puissant, est un poème qui aurait été écrit au XIIe ou au XIIIe siècle à l’époque des Croisades, chanté depuis les huit soirs de Hanouka, après l’allumage des bougies de la Hannoukia. Les premières lettres des cinq premières strophes, il y en a six en tout, forment l’acrostiche du prénom Mordehaï, מכדחי,(…)