Le matsah Brei מצה ברי de Pessah n’évoque pour moi aucune nostalgie, pas du tout comme les poivrons séchés au soleil ou les gâteaux de Pourim de ma grand-mère. Mais grâce à mon mariage avec un ashkénaze, j’ai découvert cette délicieuse recette. Voici donc, en images, la recette de Léon réalisée et filmée par Charles et Anaël quand Anaël avait 9 ans.
Attention la présence du lait est tout à fait fortuite et ne joue aucun rôle dans la recette.
Pour apprécier encore plus l’importance culturelle du matzah brei, je vous propose un regard architectural et philosophique: l’architecte Franck Gehry discute (en anglais) de matzah Brai, la version salée ou sucrée, soft ou hard, avec Mark Bittman au Musée Guggenheim de Bilbao. Un régal!
Hag sameah!
C’est chouette cette conversation entre Frank Gehry et Mark Bittman. J’adore le matzah brei! Et la bonne recette de Leon!
Merci pour ces très bonnes recettes, ce que tu appelles les poivrons grillés, chez mes parents on appelait ça des piments à l’huile, et on utilisait l’huile rouge pour arroser le riz à l’espagnol, un délice
Edith, tu as tout à fait raison. ce sont des piments à l’huile. Je ne me souviens pas qu’on utilisait ça pour le riz, je vais demander à ma mère. Hag sameah!
Pas mal le Matsè bra à la Péguine, mais je resterai avec le mien !
Sympa d’avoir convié le Rav Cherki, amusant et intéressant.
Miam ça a l’air bon, mais à quoi sert le lait dans les ingrédients ? 😉
Olivia, le lait ne joue aucun rôle. Il était par hasard sur le plan de travail.
Cette recette ne donne pas envie. Elle pourrait etre meilleure si au lieu d`etre trempees dans l`eau, les gallettes seraient trempees dans du lait froid au tiede. Question de gout, je vais essayer.
Merci
je finirait par « prendre du poid » avec toutes ces bonnes recettes de cuisine .