poème

Existe-t-il, Nurit Zarchi

Existe-t-il, Nurit Zarchi

            Esther Orner et moi-même reprenons, après les fêtes, la traduction à deux de poèmes en hébreu vers le français. Voici notre cinquième traduction. Il s’agit de « Existe-t-il »,  מה יש un poème de Nurit Zarchi tiré du recueil L’âme est l’Afrique הנפש היא אפריקה. Nurit Zarchi est né à Jérusalem en octobre 1941 et a(…)

Sans carte de visite, Yaara Ben-David

Sans carte de visite, Yaara Ben-David

Esther Orner et moi-même continuons notre nouvelle aventure, la traduction à deux de poèmes en hébreu vers le français. Voici notre troisième traduction de ce que j’espère deviendra un rendez-vous bimensuel. Il s’agit de בלי כרטיס ביקור, Sans carte de visite, un poème tiré du recueil de Yaara Ben-David איזון שביר, Izoun Shavir traduit en anglais,(…)

Sur le jour de la destruction de Jérusalem par Titus, Lord Byron

C’est en écrivant la promenade Rues Lord Byron, Jean Jaurès, Emile Zola que j’ai découvert le recueil Mélodies hébraïques du célèbre poète romantique anglais Lord Byron publié en 1818 dont est extrait ce poème. Ces textes devaient accompagner les mélodies d’Isaac Nathan. Après des revers de fortune, Isaac Nathan s’est exilé en Australie en 1841 où il est(…)

Niggoun, un poème en partage

Dans le cadre de ma rubrique Poème en partage , voici pour commencer l’année civile 2011, grâce à Esther Orner qui en est la traductrice de l’hébreu au français, le poème en ouverture du nouveau recueil de la poétesse israélienne, Haya Ester, NIGGOUN. Le Niggoun est un chant hassidique, une mélodie psalmodiée qui s’élève petit(…)

Coquillages, coques et guerre, un poème de Pnina Amit

La semaine dernière, dans mon billet Blogueuse en Israel, le temps qui passe, la main qui écrit, je vous parlais d’une soirée de poésie pour le lancement du recueil de la poétesse Pnina Amit צדפים קונכיות ומלחמה , Coquillages, coques et guerre. Le livre est  illustré par le peintre Moshe Kadishman.  Esther Orner a traduit(…)