Un poème de Bialik pour une famille assassinée
Comme une chape de plomb, aujourd’hui sur Israël. Le 11 mars 2011, cinq personnes de la même famille ont été massacrées à Itamar. Comment comprendre qu’on puisse égorger un enfant dans son sommeil ? Mon amie Esther Orner m’a parlé du poème que Bialik avait écrit après le pogrom de Kichinev en 1903. Je crois(…)