Un petit caillou blanc sur une tombe

C’est Yom HaShoah en Israël. La sirène a retenti ce matin pendant deux minutes. C’est une journée difficile mais je suis toujours apaisée de la vivre en Israël. Hier, j’ai fini de lire le livre inédit d’André Schwarz-Bart L’Etoile du matin, paru au Seuil, que m’a offert mon amie Agnès. C’est bouleversant. Retrouver la voix du Dernier des Justes (prix Goncourt 1959) tant d’années après.

Simone Schwarz-Bart écrit dans sa note d’introduction: Et si vous me demandez qui était donc Schwarz-Bart? Vous qui l’avais côtoyé, je vous répondrai que c’était un juif, un juif de petite taille, qui vous forçait à lever la tête pour le regarder.

Dans la vidéo, on voit  Francine Kaufmann, professeur à l’Université de Bar-Ilan, la spécialiste israélienne d’André Schwarz-Bart qui a écrit un article que je vous recommande dans L’Arche n° 619, novembre 2009, p. 70-76, Le dernier roman d’André Schwarz-Bart,
Cinquante ans après « Le dernier des Justes », une « Etoile du matin » en forme de Kaddish,
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