Esther Orner

C’est là que nous habitons, Esther Orner

C’est là que nous habitons, Esther Orner

Esther Orner a été publiée dans Le Nouveau Commerce, une prestigieuse revue littéraire dirigée par André Dalmas et Marcelle Fonfreide entre 1963-1996. On pouvait y découvrir,  entre de nombreux autres,  des textes de Maurice Blanchot, de Djuna Barnes, d’Edmond Jabès, d’Emmanuel Levinas, d’Henri Meschonnic, de Pierre Pachet, de Victor Segalen. Esther me permet de reproduire(…)

Efrat Mishori, Où en sommes-nous ?

Efrat Mishori, Où en sommes-nous ?

Esther Orner et moi-même reprenons, après une longue interruption, la traduction à deux de poèmes en hébreu vers le français. Voici notre sixième traduction. Il s’agit de « Où en sommes-nous ? », עד היכן הגענו un poème d’Efrat Mishori tiré de son sixième recueil publié en 2019 : אישה נשואה ושירים בודדים, Femme mariée(…)

Existe-t-il, Nurit Zarchi

Existe-t-il, Nurit Zarchi

            Esther Orner et moi-même reprenons, après les fêtes, la traduction à deux de poèmes en hébreu vers le français. Voici notre cinquième traduction. Il s’agit de « Existe-t-il »,  מה יש un poème de Nurit Zarchi tiré du recueil L’âme est l’Afrique הנפש היא אפריקה. Nurit Zarchi est né à Jérusalem en octobre 1941 et a(…)

Je ne recommencerai plus…

Je ne recommencerai plus…

Texte inédit du recueil « Une année entre parenthèses » d’Esther Ornerpour Kef Israël à la mémoire de Chantal Akerman (6 juin 1950-5 octobre 2015) morte le 22 (Kaf Beth) Tichri selon la date hébraïque. Tu as été rattrapée de justesse.Dommage.Tu ne devrais pas faire ça tant que ta mère est en vie.Je ne recommencerai plus. S’est-elle(…)

Mémoire du yiddish – Transmettre une langue assassinée

Mémoire du yiddish – Transmettre une langue assassinée

Une note de lecture d’Esther Orner sur Mémoire du yiddish – Transmettre une langue assassinée, Rachel Ertel, Entretiens avec Stéphane Bou chez Albin-Michel Depuis la sortie de Mémoire du yiddish, lu et relu, le livre se trouve sur ma table de chevet. Longtemps j’ai hésité à faire une note de lecture qui ne pourrait que réduire(…)

Et je savais que la mer aussi était un Lieu, Hava Pinhas-Cohen

Et je savais que la mer aussi était un Lieu, Hava Pinhas-Cohen

Esther Orner et moi-même continuons notre nouvelle aventure, la traduction à deux de poèmes en hébreu vers le français. Voici notre quatrième traduction de ce qui semble devenir un rendez-vous bimensuel. Il s’agit de  Et je savais que la mer aussi était un lieu , un poème de Hava Pinhas-Cohen tiré du recueil הגנן, הכלבתא(…)

Sans carte de visite, Yaara Ben-David

Sans carte de visite, Yaara Ben-David

Esther Orner et moi-même continuons notre nouvelle aventure, la traduction à deux de poèmes en hébreu vers le français. Voici notre troisième traduction de ce que j’espère deviendra un rendez-vous bimensuel. Il s’agit de בלי כרטיס ביקור, Sans carte de visite, un poème tiré du recueil de Yaara Ben-David איזון שביר, Izoun Shavir traduit en anglais,(…)