littérature

La « disparition » de Paulette Perec, Jacques Lederer

La « disparition » de Paulette Perec m’a été envoyée par mon amie Esther Orner. Jacques Lederer était un ami proche de Georges et de Paulette Perec. En 1997, il a publié : « Cher, très cher, admirable et charmant ami »,  sa correspondance avec Georges Perec, 1956-1961 aux éditions Flammarion. Il m’a  autorisé à poster sur Kef Israël ce texte. Je l’en(…)

Americanah lu par Esther Orner

Americanah, Chimamanda Ngozi Adichie, 2013, Folio L’écrivaine israélienne de langue française Esther Orner a lu et a beaucoup aimé le roman Americanah de la Nigérienne de langue anglaise Chimamanda Ngozi Adichie. Americanah, un livre que je n’avais pas envie de lire. Un folio de plus de 600 pages, ça ne m’enthousiasme jamais. J’ai commencé à le lire et(…)

Continuum n°13, la revue des Ecrivains Israéliens de langue française

Continuum n°13, la revue des Ecrivains Israéliens de langue française est disponible. La première partie de ce Continuum n°13, célèbre le centenaire du Mouvement Dada : Dada le fruit permis ou Comment nait le (non-)sens tandis que la seconde partie est consacrée à l’écrivain Shmuel T. Meyer En avant-première, le début de l’entretien d’Esther Orner(…)

Héroïsmes mineurs de Molly Antopol

Dans le cadre du Billet de l’Invité(e),  une note de lecture de Colette Leinman sur Héroïsmes mineurs de Molly Antopol   Héroïsmes mineures, 2015, Traduction de l’anglais : « The unamericans », 2014 par H. Papot, éditions Gallimard Des témoignages racontés à la première personne du singulier recomposent la constellation des membres d’une famille – celle de l’auteure(…)

Esther Orner ou la mécanique mystérieuse des affaires humaines

Dans le cadre du billet de l’Invité, je reprends un article de l’écrivain Shmuel T. Meyer (publié sur Facebook) à propos du dernier livre d’Esther Orner : De si petites fêlures aux Editions Caractères. Esther Orner ou la mécanique mystérieuse des affaires humaines Il y a quelque chose d’anthroposophique dans l’écriture d’Esther Orner, une conscience du sensible(…)

Imre Kertész, un arbre debout dans une forêt incendiée

« Je suis donc mort une fois pour pouvoir continuer à vivre – et c’est peut-être là ma véritable histoire. Puisque c’est ainsi, je dédie mon œuvre née de la mort de cet enfant aux millions de morts et à tous ceux qui se souviennent encore de ces morts. Mais comme en définitive il s’agit de(…)